Cette semaine, j’ai vécu quelque chose qui m’a profondément blessée. Un petit épisode du quotidien… mais qui m’a remuée plus que je ne l’aurais cru. J’ai contacté la collègue dont je reprends le poste à la fac de Nanterre à la rentrée pour lui demander un coup de main. Rien d’extraordinaire : une ou deux séquences par niveau, une trame, un exemple — juste de quoi me lancer... histoire de ne pas passer l'été à stresser ou à partir dans toutes les directions. Elle a refusé. Poliment, mais fermement. Avec cette phrase qui a clairement bousculé mes valeurs : “J’y ai passé trop de temps pour les partager.” Et là, j’ai vu rouge. J'ai été choquée par ce manque de solidarité. Je ne compte plus le nombre de stagiaires et de collègues à qui j’ai donné libre accès à mon drive, avec toutes mes préparations de cours. Parce que rendre service me fait plaisir. Parce que transmettre, c’est le cœur du métier. Et parce que je suis convaincue d’une chose : partager ne m’enlève rien. Au contraire, ça m’apporte la satisfaction d’aider les autres dans la mesure de mes moyens. Alors sur le moment, j’ai eu du mal à avaler la pilule. Je ne comprenais pas. Je ruminais. J’étais triste 😭 — et un peu en colère 😡. Et puis, je me suis souvenue d’un outil très simple, reçu lors d’une formation en Positive Intelligence (celle de Shirzad Chamine) : Cet outil tient en quatre mots. 👉 Where is the gift ? Autrement dit, quatre mots qui te permettent de retourner la situation. Chaque difficulté contient un cadeau. Et, c’est à toi de le trouver. Alors j’ai joué le jeu, et je me suis posée la question, pour de vrai. Si je n’ai pas ces cours-là comme base, je vais devoir chercher plus loin. Mobiliser mon réseau. Faire appel à mes ressources. Faire preuve de créativité. Peut-être même que mes cours n’en seront que plus vivants, plus adaptés, plus ancrés. Plus miens. Ce n’est pas du positivisme de façade. Ce n’est pas “penser positif” pour s’aveugler. C’est une posture. Une façon de ne pas rester figée. Une manière d’habiter l’inconfort, tout en choisissant de ne pas s’y noyer. Et cette question — Where is the gift? — m’a aussi fait penser à toi. Toi qui n’as pas été accepté·e dans la formation que tu visais. Sache que tu n’es pas seul·e à ne pas avoir eu la prépa espérée. Et je sais combien cela peut être difficile, surtout quand on s’était projeté·e, organisé·e, rassuré·e avec cette perspective. Mais peut-être que ce refus est, lui aussi, un cadeau 🎁 déguisé 🦹♀️. Un autre format. Un autre rythme. Un autre cadre, qui, au final, te correspondra mieux. Une surprise qui te fera dire, dans quelques mois : heureusement que ça ne s’est pas passé comme prévu. A retenir ✨ Cette semaine, si tu as l’impression que rien ne va comme tu veux, je t’invite à faire une pause. Pose-toi cette question, toute simple mais puissante : Where is the gift ? Et lance toi dans la chasse aux trésors. Tu seras surpris·e du nombre de portes qui peuvent s’ouvrir 🚪. bonne semaine, Marie PS.O.S 😉 |
Ma devise préférée : "Le succès est inévitable" Dans cet état d'esprit, j'ai créé une méthodologie simple pour réussir l'agrégation sans sacrifier sa vie personnelle. Si j'ai réussi à obtenir l'agrégation d'anglais sans avoir fait d'études d'anglais, vous le pouvez aussi.
Si ce titre était un sujet de dissert, j’aurai commencé par questionner la conjonction de coordination: l’IA “et” l’agreg L’IA “avec” l’agreg L’agreg “avec” l’IA L’agreg “sans” l’IA L’IA “plus” l’Agreg Je m’arrête là dans mon énumération car j’ai déjà le cerveau qui bouillonne 🤯 d'idées. Mais, au fond, la problématique tournerait autour de la question “Peut-on se passer de l’IA pour préparer l’agreg?” Pour y répondre, je choisirais, sans hésiter, un plan dialectique (✅ Oui → ⚠️ Mais → 🔮...
Aujourd’hui, je voulais partager avec toi un parcours qui m’a profondément marquée : celui de Pascaline, qui a décroché l’agrégation interne d’éco-gestion… du premier coup, et toute seule, sans préparation disciplinaire. 🎉 Quand je lui ai demandé comment elle avait trouvé le déclic pour se lancer, elle m’a répondu simplement : « C’est ton mail. Tu m’as dit que en théorie tout est possible, même si on commence en octobre. Alors je me suis dit : si ce n'est pas impossible c'est que c'est...
Cette semaine, j’ai eu une petite aventure inattendue avec ma pharmacienne 🧪. Je suis allée récupérer une lotion pour les cheveux, sur ordonnance. Une de ces préparations que seules certaines pharmacies proposent encore — un mélange à faire sur place, dans leur petit labo. Je venais à peine de récupérer le flacon de "potion magigue" que je reçois un appel. C’était le laborantin… ou la laborantine (faudra que je vérifie si ça se dit au féminin 😄). Bref, on m’annonce qu’il y a eu une erreur :...