Cette semaine, j’ai repensé à toutes les heures que j’avais passées à me prendre la tête pour trouver des problématiques qui tiennent la route.
C’est sans doute pour ça que je préférais de loin les épreuves de traduction… pas besoin de se casser la tête avec cette foutue problématique !
Mais puisque c’est un incontournable dans la majorité des devoirs, j’avais envie de vous partager ma recette avec un acronyme que vous n’êtes pas prêts d’oublier.
K.I.S.S (Keep it super Simple)
Les questions que je dois me poser :
« Comment puis-je formuler le plus simplement possible les tensions / paradoxes / enjeux / contrastes qui ressortent de ce texte ? »
« Comment montrer à mon interlocuteur que j’ai identifié la polysémie des termes du sujet ? »
Les injonctions qui peuvent vous aider :
« Il n’y a pas UNE problématique attendue »
« J’ai toute ma copie pour développer mes idées »
« Je ne commence pas à répondre à ma question »
NB : Malheureusement, le mot « problématique » contient la racine « problème ». Notre cerveau qui est cablé pour faire des associations d’idées se met en alerte rouge. Et rien qu’à l’évocation de ce passage obligé, notre corps se raidit !
Mais rappelez-vous la célèbre scène du balcon dans Roméo et Juliette :
« What’s in a name? That which we call a rose, By any other name would smell as sweet »
Vous voyez surement où je veux en venir…
--> Appelez-la autrement, s’il le faut, mais n’en faites plus un problème ;-)
Bonnes révisions,
PS : Si vous avez envie d’un petit coup de boost avant la rentrée, inscrivez-vous à mon webinaire gratuit « Comment rester motivé.e sur la durée ? ».
Le samedi 27 Août à 16h (Places limitées)
RDV sur https://mariemotard.ck.page/rester-motive
Marie
Professeur agrégé d'anglais / Coach certifiée / Formatrice INSPE
Ma devise préférée : "Le succès est inévitable" Dans cet état d'esprit, j'ai créé une méthodologie simple pour réussir l'agrégation sans sacrifier sa vie personnelle. Si j'ai réussi à obtenir l'agrégation d'anglais sans avoir fait d'études d'anglais, vous le pouvez aussi.
Me revoilà! J’aurais aimé ajouter « …et en pleine forme ». Mais je déteste mentir. Cette pause était nécessaire, mais pas suffisante pour reprendre complètement du poil de la bête. Elle m’a cependant offert quelque chose de précieux : un peu d’espace. Juste assez pour sortir la tête du guidon et revoir mes priorités. (Petite parenthèse) Je pense que quelques éléments de contexte s’imposent pour celles et ceux qui se sont inscrits récemment à ma newsletter et qui débarquent, in medias res,...
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