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Cette semaine, j’aurais pu intituler cette newsletter « La semaine de trop » 😩 Mais j’ai opté pour « En mode survie ». Parce que c’est exactement là où j’en suis. À une semaine des vacances de la Toussaint, j’ai l’impression d’avoir couru un marathon… en tongs 🩴. Et je sais que je ne suis pas la seule.
Le contexte La dernière semaine avant les vacances, c’est TOUJOURS un enfer. Peu importe la période. Mais celle avant la Toussaint… a un petit goût particulier. Ni la lumière dorée de septembre ☀️, ni la magie des fêtes 🎄. Juste de la fatigue, de la pluie, et cette impression de se battre contre la gravité. Et quand notre énergie est au plus bas, tout devient plus lourd : les copies, les réunions, les repas à préparer, même se laver les cheveux semble relever de l’exploit olympique. 🥇 Zéro batterie 🔋 Quand on est en forme, la volonté suffit à faire avancer la machine (cf la newsletter « j’ai pas envie ») Mais quand les réserves sont à sec, c’est fini. Tu veux, mais ton corps dit non. (Télécommande cassée. Signal indisponible.) 👉 C’est exactement ce qui m’est arrivé cette semaine. Ma tactique : le mode survie J'ai enfilé ma tenue camouflage et je suis descendue dans mon bunker Je me suis mise en économie d’énergie. J’ai gardé l’essentiel :
Tout ce qui n’était pas vital est passé en pause. Et devine quoi ? Le monde a continué de tourner. 🌍 Ce que j’ai compris 💡 Quand tu es au bout du rouleau, le secret, c’est de ne pas lutter. On ne gagne rien à forcer. L’énergie reviendra. Toujours. Ton job, dans ces moments-là, c’est juste de tenir la barre et d’attendre que la mer se calme. 🌊 Pas besoin d’être une héroïne. Juste… tenir. 👉 À retenir : En mode survie, on ne progresse pas, on préserve. Et c’est déjà énorme. ⛑️ Mon mini-plan de survie
Cette semaine, je n’ai pas brillé. Mais j’ai tenu. Et parfois, c’est ça, la vraie victoire. La semaine prochaine, j’espère pouvoir t’écrire que je suis passée en mode ninja 🥷✨ À très vite, Marie PS: Tu te demandes peut-être déjà comment organiser les vacances de la Toussaint pour jongler entre reprendre des forces et avancer sur l'agreg? Si c'est le cas, je t'invite à lire ou relire cette newsletter. PPS: je réfléchis à organiser un atelier questions / réponses fin octobre destiné à tous les candidats qui n'ont pas pu rejoindre mon programme d'accompagnement. Ça sera en mode "pay what you want" avec un minimum de 10€. Tu pourras me bombarder de questions sur n'importe quel sujet qui touche de près ou de loin l'agreg. Si tu es intéressé réponds au sondage ci-dessous.
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Ma devise préférée : "Le succès est inévitable" Dans cet état d'esprit, j'ai créé une méthodologie simple pour réussir l'agrégation sans sacrifier sa vie personnelle. Si j'ai réussi à obtenir l'agrégation d'anglais sans avoir fait d'études d'anglais, vous le pouvez aussi.
Ce matin, après une nuit de 11h pour encaisser ma semaine, j’ai pris une décision qui me pince un peu le cœur… mais dont je sais qu’elle est la bonne. J’ai regardé mon planning.J'ai visualisé mes 4 prochaines semaines avec 26h de cours hebdo à la fac.J'ai regardé ma tête dans le miroir.Et je me suis dit : « … là, Marie... ça ne va pas te plaire...mais il va falloir lâcher... » Bref. Il y a deux semaines, je t’expliquais qu’en période de surcharge, il valait mieux faire des coupes ✂️ dans son...
On y est. Novembre marque le fameux point de bascule pendant lequel ⅓ des candidats abandonnent 😮 Pourquoi ? Parce que c’est le creux de la courbe Dunning-Kruger. Le moment précis où la confiance s’effondre alors même que la compétence commence à se construire. Bref : tu bosses, tu progresses… mais tu ne le vois pas encore. 👉 Mon objectif aujourd’hui, c’est que tu traverses la vallée sans t’y installer. 🔎 La minute théorique : l’effet Dunning-Kruger En 1999, les psychologues américains David...
Aujourd’hui, je t’apporte une excellente nouvelle : si tu doutes de toi, c’est bon signe 😅. Oui oui, tu as bien lu. Les imposteurs — ou plutôt celles et ceux qui se sentent comme tels — sont souvent… les plus compétents. Je t’explique. Cette semaine, en écoutant un podcast que j'apprécie beaucoup, j'ai pu revisiter ma compréhension du "syndrome" de l'imposteur. D’abord, Grégory Pouy démonte l’idée qu’il s’agirait d’un « syndrome ». Rien à voir avec une pathologie individuelle. C’est un...