J’ai toujours aimé l’organisation et l’optimisation mais, on va dire que mon “cas” s’est aggravé en vieillissant 🤣🤣🤣 La fana de l’agenda 📆. Le planning, c'est ma passion. J'ai d'ailleurs consacré une newsletter entière dans laquelle je te détaille le pas à pas, à pas 👣, à pas 👣, à pas 👣 …. de mon système de planification. Je te propose un cas pratique avant de te donner la réponse. ⚒️ Cas pratique Le week-end dernier, L. me disait: “je fais des plannings mais je n’arrive jamais à les suivre. Pourtant, je travaille tout le temps pour l’agreg. C’est juste que, je ne respecte pas ce qui est écrit dans l’agenda.” Il se peut que tu te reconnaisses dans les mots de "L". Tu es bosseur et tu adores ce que tu apprends. Ce n’est pas le travail qui te rebute. Mais, tu t'éparpilles. Tu as l'impression que les résultats ne sont pas à la hauteur de l’investissement personnel. Et, la ✅ bonne / ❌mauvaise nouvelle , c’est que c’est vrai. “ Faire MON planning, c’est établir MA stratégie” “Suivre MON planning, c’est mettre en œuvre MA stratégie”. 📌 Remarque N°1: Chaque candidat est unique Si j’insiste sur le MON / MA, c’est que chaque candidat est unique. Il n’y a pas de recette universelle même s’il y a des principes de base. 📌 Remarque N°2: Privilégier l’action. Comme je le dis souvent à mes coachés, c'est toujours mieux de privilégier la régularité. Si tu dois choisir entre: “faire quelque chose qui n’était pas inscrit au planning” et “ne rien faire”, la solution n°2 s’impose. Comme je le dis souvent, il faut garder le moteur allumé et rester en mouvement pour continuer à avancer vers ton objectif. 📌 Remarque N°3: Les 100% de réussite sont l’exception L’objectif n’est jamais de respecter son planning à 100% ( même si je connais une personne qui y parvient … et ce n’est pas moi!). L’idée du planning c’est d’éviter la fatigue décisionnelle. Il faut savoir que c’est très énergivore de prendre des décisions. Se rajouter cette étape, à chaque fois qu’on se met à sa table de travail, c’est se tirer une balle dans le pied. 🧰A retenir 💥 Pour être efficace, il faut séparer la phase de prise de décision et la phase de passage à l’action d’au moins 24h. 💥 Le planning sert à s’orienter 🧭 pas à s’évaluer. 💡 La minute théorique Lorsque L. se rend compte qu’elle n’arrive pas à suivre son planning. Et qu’en dépit de cela, elle réussit à travailler à fond. C’est légitime qu’elle remette en question la nécessité de faire un planning et qu’elle veuille se contenter d’une “to-do” liste. Elle a toutes les raisons de penser: “De toute façon je n’aurais pas pu travailler plus. Donc, peu importe ce que je fais en premier” ⚠️ GRAVE ERREUR 👉 C’est dans ces moments-là qu’il faut se méfier de la procrastination positive 👀 Exemples:
Pour résumer, la procrastination positive c’est faire quelque chose qui nous fait plus envie que ce qui était prévu. On n’a pas l’impression de procrastiner car on reste dans l’action. Et on va se convaincre que ça n’a pas d’importance puisque c’est quand même du travail. 🥊Cerveau reptilien VS cerveau pré-frontal 🥊 La partie de notre cerveau qui est la plus qualifiée pour savoir ce qui est bon pour nous, à long terme, c’est le cortex pré-frontal. C’est celle que j’utilise quand je fais un planning. Alors que, si je réagis à une situation dans l’instant, j’utilise une autre partie de mon cerveau, le cerveau reptilien. 👉 Si je laisse mon instinct me guider, il va tout faire pour économiser de l’énergie et rester dans ma zone de confort, ce qui ne prend pas en compte mon intérêt à long terme. Prends quelques minutes pour me raconter la dernière fois que ça t'est arrivé. Est-ce que tu vois à quel point notre cerveau reptilien peut être persuasif? Marie PS: Si tu commences à perdre la motivation et te sentir découragé, c'est normal. On entame le premier creux dans le cycle de motivation / démotivation. C'est lié à la période de l'année. Accroche-toi encore pendant 2 semaines. Puis, tu pourras faire un vrai pas de recul pendant les vacances de la Toussaint pour faire un état des lieux qui ne soit pas biaisé par ta fatigue physique et émotionnelle. |
Ma devise préférée : "Le succès est inévitable" Dans cet état d'esprit, j'ai créé une méthodologie simple pour réussir l'agrégation sans sacrifier sa vie personnelle. Si j'ai réussi à obtenir l'agrégation d'anglais sans avoir fait d'études d'anglais, vous le pouvez aussi.
Cette semaine, j’aurais pu intituler cette newsletter « La semaine de trop » 😩 Mais j’ai opté pour « En mode survie ». Parce que c’est exactement là où j’en suis. À une semaine des vacances de la Toussaint, j’ai l’impression d’avoir couru un marathon… en tongs 🩴. Et je sais que je ne suis pas la seule. Le contexte La dernière semaine avant les vacances, c’est TOUJOURS un enfer. Peu importe la période. Mais celle avant la Toussaint… a un petit goût particulier. Ni la lumière dorée de septembre...
Cette semaine, une coachée m’a appelée pour prendre une décision de la plus haute importance : 🍗 “Je vais à ce BBQ ou pas ?” Alors dit comme ça, ça semble anodin. Mais ce qui m’a fait tiquer, c’est la façon dont elle a formulé son dilemme : “C’est le dernier barbecue de la saison. Après il fera froid. C’est maintenant ou jamais.” À ce moment-là, j’ai compris qu’on n’était plus dans une question d’agenda ou de météo… On était en plein FOMO 🤯. Tu connais ce sentiment, non ? Cette petite voix...
Il y a des matins où j’ai l’impression d’avoir tout fait de travers, d’avoir NO LIFE. J’ai cette petite voix qui me dit : « Tu l’as choisi, maintenant tu assumes. » Personne ne t’a imposé d’avoir : 2 enfants, 2 boulots et, pour couronner le tout, 2 projets immo en ce moment. (Elle est vraiment pas sympa avec moi celle-là, je la déteste 😅). Et d’autres matins où, bizarrement, j’arrive à me sentir un peu plus optimiste. Bref, ça dépend des jours. Parce qu’il y a aussi ces matins où je me vois...