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“Bizarrement, c’était triste mais pas glauque” Mais la réalité c’est que, d’un coup, j’ai vraiment pris conscience de ce que signifie l’expression “n’avoir qu’une vie” (YOLO: “You Only Live Once” comme disent les jeunes. Ce hashtag #yolo est généralement associé, sur les réseaux sociaux, à des contenus qui encouragent à “profiter de la vie”. C’est un peu la version “jeune” de CARPE DIEM) Bizarrement, cette cérémonie était triste mais pas glauque. Au contraire, ça m’a donné envie de réévaluer où je mets mon temps et mon énergie… et bien sûr, avec qui. Finalement, le résultat de cet état des lieux est assez proche de ma vie actuelle. Bien sûr, on peut toujours faire quelques petits ajustements pour rééquilibrer. Mais, grosso modo je suis alignée avec la façon dont j’utilise mon temps sur cette planète 🪐. 🤫🤫🤫 Si mon mari lisait ça ( ce qui n’est pas le cas car il n’est pas abonné à ma newsletter), il serait effaré. Il trouve que je travaille beaucoup trop. Et, vu de l’extérieur, je le comprends. Néanmoins, de l’intérieur, je fais une vraie différence entre le travail subi et le travail choisi. Et pour être honnête, je trouve que je suis très bien lotie car je subis beaucoup moins que je choisis. Si on regarde le mot “travail”, tout est labeur. C’est du boulot de s’occuper des enfants, de la maison, d’entretenir des relations avec ses amis, avec la famille, de s’occuper de l’administratif … et même d’être en vacances! Oui, oui j’ose le dire 😱 . Être en vacances peut s’avérer laborieux quand on doit négocier avec ses enfants dès qu’on passe devant une boutique de souvenirs pour ne pas ramener un tas de m____ ,made in china, à la maison. Quand j’écris mes newsletters chaque semaine, certes, je ressens une certaine pression parce que j’ai choisi une cadence hebdomadaire. De ce fait, cela s’apparente à une obligation. Mais, c’est aussi un plaisir de prendre ce temps pour moi. C’est l’occasion de partager mes réflexions, de mettre en forme mes idées et de savoir que, peut-être, j’aurai un impact sur mon lecteur. Il n’y a rien de plus gratifiant que de faire des choses qui ont du sens pour soi 🧡. Il me semble que nous avons tous cela en commun. Ce n’est pas un hasard qu’on reste prof, malgré des conditions de travail parfois difficiles. Aider nos élèves à s’élever, c’est ce qui nous motive à nous lever le matin. Certes, c’est très chronophage de préparer l’agrégation mais c’est un investissement. C’est du temps exclusivement dédié à étendre ses domaines de compétences. Cela a le double avantage de nous faire grandir intellectuellement ET émotionnellement. Quand on est prêt à miser sur soi alors que le résultat des courses est incertain, on envoie un signal fort à son cerveau. C’est comme si on se disait: “ je crois en toi, tu peux y arriver, même si c’est difficile”. Je vous laisse répondre à cette question pour vous-même et par vous même et je serai ravie de vous lire si vous voulez me partager vos réponses. À samedi, Marie PS: Si vous voulez raccrocher en douceur avec la prépa-agreg, pourquoi ne pas commencer par l'écoute de mon podcast "Coaché.e pour l'agreg" ?
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Ma devise préférée : "Le succès est inévitable" Dans cet état d'esprit, j'ai créé une méthodologie simple pour réussir l'agrégation sans sacrifier sa vie personnelle. Si j'ai réussi à obtenir l'agrégation d'anglais sans avoir fait d'études d'anglais, vous le pouvez aussi.
Ce matin, après une nuit de 11h pour encaisser ma semaine, j’ai pris une décision qui me pince un peu le cœur… mais dont je sais qu’elle est la bonne. J’ai regardé mon planning.J'ai visualisé mes 4 prochaines semaines avec 26h de cours hebdo à la fac.J'ai regardé ma tête dans le miroir.Et je me suis dit : « … là, Marie... ça ne va pas te plaire...mais il va falloir lâcher... » Bref. Il y a deux semaines, je t’expliquais qu’en période de surcharge, il valait mieux faire des coupes ✂️ dans son...
On y est. Novembre marque le fameux point de bascule pendant lequel ⅓ des candidats abandonnent 😮 Pourquoi ? Parce que c’est le creux de la courbe Dunning-Kruger. Le moment précis où la confiance s’effondre alors même que la compétence commence à se construire. Bref : tu bosses, tu progresses… mais tu ne le vois pas encore. 👉 Mon objectif aujourd’hui, c’est que tu traverses la vallée sans t’y installer. 🔎 La minute théorique : l’effet Dunning-Kruger En 1999, les psychologues américains David...
Aujourd’hui, je t’apporte une excellente nouvelle : si tu doutes de toi, c’est bon signe 😅. Oui oui, tu as bien lu. Les imposteurs — ou plutôt celles et ceux qui se sentent comme tels — sont souvent… les plus compétents. Je t’explique. Cette semaine, en écoutant un podcast que j'apprécie beaucoup, j'ai pu revisiter ma compréhension du "syndrome" de l'imposteur. D’abord, Grégory Pouy démonte l’idée qu’il s’agirait d’un « syndrome ». Rien à voir avec une pathologie individuelle. C’est un...